Le secteur dit informel (sans les activités souterraines et répréhensibles bien entendu) est dans les pays africains, passé du stade « résiduel », (sanctuaire des laissés pour compte de l’économie libérale), au stade « incontournable » (à prendre en compte dans tout plan sérieux de développement), pour parvenir au stade de « moteur de la croissance » (voir le modèle du Sénégal).
Faut –il oublier, que plus d’un ménage sur six dans la ville d’Antananarivo exerce des activités de production informelles pour faire l’appoint à ses revenus, afin de subsister.